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Barnstormer temporaire à l'ancien aérodrome de Rhinebeck de dégorgement dans le drain
Barnstormer temporaire à l'ancien aérodrome de Rhinebeck de dégorgement dans le drain

 





Au début du mois d'octobre, attiré par l'air frais de l'automne et le dôme bleu brillant du ciel, je me suis dirigé vers le stand Biplanes Rides de l'aérodrome Old Rhinebeck de Cole Palen, où j'ai réservé l'un des quatre sièges passagers du New Standard D- 25 avions à cockpit ouvert exploités par Hudson Valley Air Tours. Dégorgement tout à l’égout 

 

Mon billet, qui coûtait auparavant 25 $ en 1995 mais qui coûtait même maintenant 100 $, me garantirait une place sur le vol HV 007, qui a décollé à 12h15. Le fait qu'il s'agissait de la septième ascension de la journée a conduit à la création du numéro de vol, qui n'est pas officiel.

Un jeune couple s'asseyait sur la banquette avant avec moi, et un homme à barbe blanche prenait ma place sur le siège juste derrière eux. Bien sûr, le cockpit du pilote était derrière nous.

Le panneau du terminal de départ se lit en anglais : "" New Standard D-25, American, 1928, engine: 220-hp Continental ", a averti le stand Rides extérieur. Le 25e avion de Charles Day, le D.25, a été créé spécifiquement pour le barnstormer. Il comportait des méthodes de construction de pointe (1928), pouvait fonctionner à partir des plus petits champs, transportait quatre passagers payants et était simple à piloter. Ici, à l'aérodrome Old Rhinebeck, ce premier New Standard a transporté plus de 11 000 personnes.

 

Ce n'était pas tout à fait exact. Le nombre de passagers n'était exact qu'il y a quelques années, et depuis, le solitaire D-25, N19157, avait été rejoint par un second, N176H, que je piloterais pour la première fois aujourd'hui. Mes précédents voyages touristiques aériens au-dessus de la vallée de l'Hudson ont eu lieu en 1995, 2000 et 2006.

 

Suite à son circuit précédent, l'avion a roulé jusqu'à la cabine pour décharger son quadruplé de passagers avant de permettre aux quatre suivants, qui portaient casques et lunettes et avaient reçu le briefing de sécurité avant le départ, de traverser l'herbe jusqu'à la "rampe à deux marches". " au bord de fuite de l'aile inférieure. Cet avion vieux de 89 ans pourrait faire demi-tour en quelques minutes.

 

Je suis entré dans le cockpit du biplan au fuselage noir et à l'aile orange après avoir suivi sa bande de marche racine, entrant dans l'âge d'or du barnstorming. Le moteur tournait et crachotait tout le temps. Prenant la gauche des deux banquettes arrière (2A), j'ai étroitement associé ma ceinture de sécurité à celle de la personne en 2B en la lui tendant comme une poignée de main métallique. Les ceintures de sécurité partagées étaient obligatoires pour les banquettes.

 

Même avec son hélice tournant au ralenti, l'attaque des oreilles et du nez a provoqué une immersion instantanée dans la technologie sans cabine de la fin des années 1920. Le sillage était si intense que je ne pouvais pas respirer par le nez, et le crépitement rauque du moteur était assourdissant. J'avais l'intention de vivre cette période de vol avec mes sens, comme je l'avais fait lors de mes précédentes expériences en cockpit ouvert. Peut-être que je l'étais, et j'étais toujours allongé sur le sol.

 

Si son réglage de ralenti était un somnoler, son augmentation des gaz était un signal d'alarme surprenant. Après avoir relâché ses freins, le biplan a commencé à sprinter à travers l'herbe vers le seuil de la piste, qui dans ce cas était la colline à l'extrémité sud du terrain recouvert de gazon. Après avoir gravi la colline, il a fait un virage à 180 degrés vers la droite sur sa roue arrière.

 

Le décollage n'a pas été autorisé. Il n'y avait pas de radio disponible pour le diffuser. De plus, il n'y avait pas besoin de s'inquiéter de tout autre trafic au sol.

 

Au bas de la colline, la queue de l'avion s'est élevée en vol de stabilisation horizontale, permettant aux ailes de faire le reste et de fournir de la portance. Cela a été rendu possible par une avance complète de l'accélérateur qui a ouvert les artères du carburant et pompé le moteur avec un plasma explosif. Dégorgement lavabos

 

Le minuscule pare-brise en plexiglas ne pouvait rien faire pour arrêter la vitesse de l'air et le sillage croissants causés par l'hélice en rotation, qui me frappait le visage et a agressé tellement mes narines qu'elles n'ont ironiquement pas réussi à accepter la substance même dont mes poumons avaient besoin, malgré le abondance d'air.

 

Le fait que sa vitesse accrue était inversement équilibrée par sa pression réduite a permis au biplan de sauter de la bande d'herbe roulante malgré le fait qu'il se soit sans doute approché des ailes. La présence de deux ailes indiquait une surface et une capacité génératrice de portance doublées. Il a dépassé la rangée d'avions - un Caudron G.III, un Albatros D.Va et un triplan Fokker Dr.1 - qui semblaient être cachés dans une poche préservée de l'histoire du côté bâbord alors qu'il se rendait au froid, croustillant , bleu étincelant.

 

Le D-25 a surmonté la végétation rétrécie de la vallée de l'Hudson en escaladant l'extrémité nord du champ et en s'inclinant momentanément vers la gauche. Norton Road, qui était maintenant un ruban plus étroit que celui utilisé pour emballer les cadeaux, passait sous l'aile bâbord. C'était la route, vue sous un angle différent et descendant, d'où, en approchant de la piste d'atterrissage, j'avais levé les yeux vers cet avion identique, qui reculait maintenant derrière mon épaule gauche.

Avec ses ailes orange, reliées par des entretoises et recouvertes de tissu passant au-dessus des régions d'arbres et de terres agricoles encore principalement vertes

avec seulement des reflets sporadiques de sentinelle de citron, le D-25 a traversé le bleu teinté d'une morsure d'automne après avoir quitté les limites physiques de la terre 

 

Une pause m'a permis de réfléchir à la cabine pour quatre personnes et à ma position à l'intérieur lors de voyages antérieurs dans le ciel grange de Cole Palen. J'étais assis dans mon siège d'origine, celui qui m'avait exposé pour la première fois au vol à l'ère de l'exposition aux éléments en 1995. Jose, un autre étudiant de mon cours d'histoire de l'aviation de l'Université d'État de Farmingdale, était assis sur le siège 1B, le siège avant droit. Christian, un autre élève de notre classe, était assis à côté de José au siège 1A, si je me souviens bien. Ma mère s'était assise à côté de moi lors de chacune de mes ascensions aériennes ultérieures, que j'ai prises en charge pour Jose en 2000 et 2006 respectivement.

 

Théoriquement, j'étais maintenant assis derrière elle, ou du moins dans son siège, mais comme elle avait quitté l'avion réel environ 20 mois auparavant, la seule façon de l'inclure dans mon vol actuel était de se rapprocher le plus possible de la libération sournoise de la Terre. liens et l'envolée dont son âme était maintenant sans aucun doute capable. Je savais qu'il était maintenant ici avec moi.

 

Après l'obtention de mon diplôme, je n'ai plus jamais revu José ou Christian. Cole Palen, le créateur de son célèbre aéroport, a transcendé la frontière entre les dimensions temporelle et immortelle deux ans avant cette première escarmouche en 1995. Au moins, j'avais moi-même sur quoi me rabattre.

 

Le vent et le moteur se sont battus pour savoir qui pourrait faire le bruit le plus fort, le vent faisant peut-être écho à tous. Bien que le moteur ait finalement prévalu, les deux criaient et hurlaient de différentes manières. Sans eux, l'expérience du cockpit ouvert aurait-elle été tout aussi authentique ? J'ai mes doutes.

 

Avant de s'approcher de l'acier, monteur installé comme Rhinecliff Bridge, qui signalait un trop court retour sur le terrain, le D-25 s'inclina à gauche. La rivière Hudson, un serpent azur qui serpentait à travers le paysage luxuriant, se trouvait juste à l'extérieur de la ligne de mire du D-25.

 

Son ombre, une forme réfléchie par le sol qui a traversé les terres agricoles en contrebas comme un esprit illimité, portait sans aucun doute la signature de Cole.

Le biplan a commencé une série de virages en S rapides tout en chevauchant les courants d'air invisibles, ses ailes tremblant et se plaignant à chaque manœuvre et ses changements de vitesse se traduisant par des forces de vent audibles. Dégorgement baignoire

 

Le D-25 a fait un arc dans un virage à gauche descendant dans une approche à puissance réduite et tirant sur la gravité, s'effondrant pratiquement pour les groupes d'arbres obstruant son extrémité sud alors qu'il passait perpendiculairement au-dessus de l'aéroport de grange d'Old Rhinebeck à 500 pieds.

 

Avec ses deux roues s'évasant et saisissant brusquement la route de gravier enjambant le champ alors qu'il passait au-dessus de la colline, il a brusquement cessé de descendre à environ 100 pieds au-dessus du sol et a permis à la résistance de l'herbe de saper son élan.

Il est revenu au Biplane Rides Booth sous le bleu intense de midi après avoir viré brusquement à gauche.

 

Je suis sorti du cockpit du biplan encore jaillissant et j'ai descendu l'emplanture de l'aile jusqu'au sol - et je suis revenu en 2017. Je l'ai fait en relâchant la boucle de la ceinture de sécurité que j'avais partagée avec l'homme que je n'avais jamais rencontré mais avec qui je avaient parfois échangé des regards d'âme sœur dans les airs.

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